Novembre 2000
Articles de cette rubrique
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Il y a quelques jours j’arpentais encore les champs de manioc…
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Avec mon billet charter, j’avais droit à 25 kilos de bagages…
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« Amoul ben problème », ce n’est pas un problème. C’est ce qu’Amadou avait répondu quand je l’avais interrogé sur le transport de la cantine jusqu’au village…
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Voilà donc ce fameux lit militaire à la recherche duquel j’avais traîné Amadou dans tout Dakar l’année passée.
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En janvier j’avais reçu cette lettre d’Amadou…
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Il est bientôt onze heures, l’heure de la récréation, je vais à la rencontre d’Abdou Babou SAKHO, le maître d’école. Les gens que je croise m’interrogent
— Fo diem ? où vas-tu ?
— Man ngi dem lekkol. Je vais à l’école.
En chemin je rencontre quelques écoliers qui venaient justement profiter de la pause pour venir me saluer. Ils me prennent la main et font demi-tour pour m’accompagner.
Cette année, des branches de soump et de cadd bien piquantes ont été fichées dans le sol pour délimiter le périmètre de (...)
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Chez Amadou la maison est étrangement calme…
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Celui qui qu’Amadou appelle son tonton, vient saluer la maison et prendre des nouvelles. Pour lui, amateurs de devinettes, je sors le tangram.
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Ce soir, dans un mouvement spontané, les enfants sont venus dans la cour d’Amadou pour préparer du thé